samedi 26 novembre 2016

Le 23 novembre

Kaleb Child nous a présenté aujourd’hui avec beaucoup d’information et des ressources vraiment utiles à propos de l’éducation autochtone. Il a parlé de ce qu’il faut pour créer une fondation pour la compréhension des relations entre les premières nations et le Canada. Il a parlé aussi de comment on peut avancer à changer et questionner les images qui sont attachés à ce que ça veut dire d’être autochtone et d’annuler les histoires racontées au nom des peuples autochtones depuis longtemps. J’ai aimé aussi comment il a souligné que les First Peoples Principles of Learning sont vraiment assez organiques qu’ils peuvent être appliqués à tout l’apprentissage et peut bénéficier plusieurs élèves. 
Il a parlé aussi de l’avancement vers la pédagogie pour l’apprentissage indigène où l’enseignement et l’apprentissage sont basés dans la communauté, la terre, la famille et la langue. 

J’ai beaucoup aimé l’enthousiasme et la passion que Jacob a apporté à sa présentation où il a aussi raconté beaucoup de ses experiences personnelles. C’était surement une presentation utile et engageante que je n’oublierai pas! 

Le 16 novembre

Les histoires dont on a parlé aujourd’hui m’a fait réfléchir et comprendre un peu mieux de ce que c’est un conte autochtone authentique. Jan nous a raconté un conte à propos d’un coyote qui a perdu sa vue. On a parlé aussi des aspects des contes trickster autochtone qui comporte de la prédiction, la répétition, la préfiguration, les personnages ambigus, et l’ironie dramatique. J’ai trouvé les personnages de la conte intéressante puisqu’ils ne suivent pas un développement de personnage typique. J’ai remarqué comment les contes sont construits pour être raconté à haute voix, où l’audience est toujours considérée et intégré dans l’histoire. Par exemple, par rapport à l’histoire du coyote, l’audience sait toujours ce qui va se passer bien en avant le personnage.  
On a parlé aussi de la tradition orale et comment cela applique au système d’éducation. On a remarqué comment il benefice les étudiants considérablement avec les competences comme le compréhension des figures de style comme les métaphores, l’ironie ou le préfiguration qui sont essentiels à apprendre pour les étudiants pour qu’ils peuvent comprendre les histoires complexes ou même écrire les histoires eux-mêmes.  C’est aussi très engageants pour les étudiants où chaque élève a l’occasion de participer, s’amuser et de 
bénéficier de cette moyen d'enseignement. 

mercredi 16 novembre 2016

Une poète autochtone à célébrée: Joanne Arnott

Joanne Arnott



Joanne Arnott est une écrivaine et une raconteuse canadienne métisse de Winnipeg. Elle a étudié l'anglais à l'université de Windsor en Ontario. Elle est membre du Writers Union of Canada, Aboriginal Writers Collective West Coast et aussi de l'alliance des femmes contre le racisme. Maintenant, elle est une rédactrice de poésie pour Event Magazine. Son premier travail publié d'une collection de poésie, Wiles of Girlhood avait fait qu'elle reçoit le Gerald Lampert Award, un prix de poésie.

L'incorporation des idées de la justice sociale est évidente dans ses travaux. Elle organise aussi les ateliers contre le racisme dans les universités et les écoles à travers le Canada. De plus, elle organise les ateliers d'écriture à travers le Canada et en Australie. Il y avait un atelier de rédaction de trois semaines qu'elle a organisé et mené ici à Vancouver à SFU en 2009.

Joanne exprime comment l'art de raconter les histoires avait une grande influence sur sa poésie où elle est influencée par la présence d'un audience et des autres écrivains. Elle est inspirée d'être partie d'une communauté et l'union des gens qui partagent les mêmes idées et valeurs. Aussi, elle travaille à enlever les frontières entre l'écriture et la raconte orale à nous unifier comme les créatifs des histoires. Elle soutient que comme poète, elle est inspirée par l'inconfort et le besoin de réconcilier les aspects de la vie qui sont en conflit. Elle souligne aussi l'importance de faire ressortir les voix des femmes autochtones par les mères et les grand-mères autochtones. Cela est souligné à travers sa sixième collection, Mother Time: Poems New and Selected (2007).


Voici le lien à son blog: http://joannearnott.blogspot.ca

world shapers

creation stories are lullabies for grown-ups
they remind us of all the possible ways & means
that worlds can be born
& humans come to be

tricksters & goddesses
fire & water
the one god, or all of the gods
working as a team

worldmakers
worldshakers
worldbreakers

there is no end to the doing & the undoing
of our creators
they have imagined us over & over & over
recreating us & recreating our world on a whim

there is no end to us, humans, either
we keep re-inventing the cosmos & fighting
one anothers’ visions
with killing hands

we have our feast times
& our fast times
our celebrations & our long days & nights
of lament

& yet we are not powerless, we adults, we humans 
we reinvent, we shape and reshape the world, every 
single day

(http://www.poetryinvoice.com/poems/world-shapers) 


Sources:
http://www.eventmagazine.ca/2014/05/in-conversation-on-conversation-event-interviews-joanne-arnott/
https://thursdayspoems.wordpress.com/2009/10/20/three-week-editing-workshop-with-joanne-arnott/
https://surreymuse.wordpress.com/tag/wiles-of-girlhood/